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∞ Could I be free or will I stay Me.

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Louis T. Webb

Louis T. Webb
❝ J'ai posté : 37
❝ Métier : Officiellement gérant de l'hôtel Moskovski, officieusement jet-setteur

❝ Adresse : UC
❝ Bouteilles accumulées : 7

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MessageSujet: ∞ Could I be free or will I stay Me. ∞ Could I be free or will I stay Me. EmptySam 15 Juin - 10:01






Louis Tobias Webb




▲ IDENDITY CARD
À Moscou on me surnomme Toby mais en réalité, je m'appelle Louis Tobias Webb. Je suis né un certain 24/03/1988 dans cette magnifique ville qu'est Madrid. Si vous savez compter sur vos dix petits doigts, j'ai exactement vingt-cinq ans. Même si je n'ai pas l'âge légal, mon alcool préféré c'est la Manzana. Pour ne pas vivre dans un carton, je suis officiellement gérant de l'hôtel Moskovski, officieusement jet-setter. On dit souvent que Sebastian Stan me ressemble énormément, personnellement je me trouve plus beau que lui ! Vous pourrez me voir aux côtés de mes camarades chez les Raspoutines friqués tout bonnement parce que t'es né avec une cuillère en argent dans la bouche, tu nages dans un bonheur malsain, t'es riches, trop riche, t'aimes le montrer, le faire savoir au monde entier, t'es une légende à Moscou, tu ne manques pas de le rappeler à quiconque oserait te défier.
J'allais oublier, je vais vous révéler quelque chose d'intime, ça sera notre petit secret à nous, Tu t’en souviens encore, la chaleur qui s’évaporait alors que tu tenais son corps frêle et sans vie dans tes bras, tu ne pleurais pas, pour tout dire, ton visage ne dégageait aucune expression, l’horreur n’existait pas à tes yeux, tu regardais seulement cette défunte femme dans cette robe soyeuse le sang se fondant à la perfection dans le rouge du tissu espagnol. T’avais lentement déposé le cadavre à terre avant de finalement reculer, ton costard était fichu, c’était la seule chose qui t’importait, il n’était pas donné et cette catin l’avait tâché, ça n’était peut-être pas de sa faute mais pour toi, ça revenait au même. Arme en main, t’essuyais le canon de ton flingue avec un mouchoir soyeux avant de la ranger délicatement dans une de tes poches cousue dans ton costume hors de prix. Tu t’étais engouffré dans cette voiture aux vitre teintées, claquant simplement des doigts, tes valets avaient fait disparaître les traces de ce massacre silencieux, c’était pas la première, ni la dernière qui mourrait dans tes bras meurtriers, mais contrairement aux autres, elle, c’était ta sœur et tu venais de la descendre de sang-froid laissant sa dépouille au sol comme un prédateur le ferait avec sa proie. .




▲ THIS IS WHO I AM
On se demande souvent si tu es une bête féroce ou bien un saint, mais tu es l’un et l’autre, t’es dangereux, violent et froid, t’hésites pas à claquer des doigts pour obtenir ce que bon te semble au risque de pointer le canon luisant de ton flingue sur la tempe de celui ou celle qui oserait se mettre en travers de ton chemin. T’es respecté, t’es même aimé mais ce sentiment ne s’étend qu’aux membres de ton entourage et à la haute société. L’extérieur, les petits gens te voient comme une personne inaccessible quelque peu effrayante et sournoise, au fond, ils n’ont peut-être pas tort. Tu ne te salis pas les mains, jamais, t’as des valets pour le faire à ta place, des personnes qui, malgré les apparences, ont beaucoup plus d’avantages que quiconque autour de toi, t’hésites pas à les protéger, tu les aimes bien. Aller vers les étrangers ? C’est pas ton truc, t’es bien comme t’es, t’as pas besoin de meilleur ami ou de confident, t’as ton entourage très restreint et ça te suffit amplement, t’es pas associable, non, t’es juste distant, peut-être même méfiant. Après les mauvais côtés, il y a les bons, ceux qui font que l’on t’aime malgré tout, t’as l’air de pas en avoir, aux yeux des autres, t’es et tu resteras éternellement ce jet-setteur louche trempant dans des affaires malsaines, t’es une sorte de guillotine suspendue au-dessus des têtes du monde entier, te parler, ne serait-ce qu’un petit mot pourrait mener à la mort mais les apparences peuvent être bien trompeuses. T’es protecteur, t’hésites pas à te jeter à l’eau quand quelque chose te touche au plus profond, toucher à ton entourage serait un sacrilège, quelque chose d’impensable tant tu peux être violent. Tu peux te montrer gentil voir même généreux, tu te caches derrière un masque, t’es pas meurtri, non, bien au contraire, t’es bien dans ta peau, t’es bien où t’es, tu te montres seulement plus fort, plus impressionnant, pourquoi ? Tout bonnement parce que dans ton univers malsain et dangereux, dans ce traquenard dans lequel tu t’aventures un peu plus chaque jour, il faut savoir mentir et ressortir le meilleur de soi-même, chasser, ou être chassé.  




▲ BEHIND THE MIRROR
PSEUDO ↬ Effyi ÂGE ↬ Dix-huit ans PRÉSENCE SUR LE FORUM (?/7) ↬ Everyday ∞ Could I be free or will I stay Me. 55553609 PAYSZimbabwe France SCENARIO/INVENTE ? ↬ Inventé, toujours. QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ? ↬ Magnifique, tout simplement ♥️ OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? ↬ Je suis l'admin funky ∞ Could I be free or will I stay Me. 449816373 MOT POUR LA FIN ↬ Amusez-vous parmi nous bande de moules ♥️ CREDIT ↬ Tumblr





Dernière édition par Louis T. Webb le Mer 19 Juin - 16:39, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: ∞ Could I be free or will I stay Me. ∞ Could I be free or will I stay Me. EmptySam 15 Juin - 10:01





▲ MY DEAR STORY
La chaleur atroce étouffait les habitants de Madrid, l’été avait pointé le bout de son nez, alors que beaucoup se réfugiaient dans des endroits climatisés ou sautaient à l’eau pour échapper ne serait-ce que quelque heures à ce châtiment de dame nature, toi, tu restais cloîtré dans cette énorme voiture aux vitres teintées comme un mafieux sur le point d’effectuer une transaction. Ton chauffeur te baladait un peu partout alors que tu dégustais un cocktail, observant les petits gens se liquéfier au soleil. T’esquissais un petit sourire alors que la voiture accélérait, tu remontais tes manches souillées avant de te fondre confortablement dans le siège arrière, fermant les yeux doucement. T’avais son parfum sur toi, cette odeur qui te prenait à la gorge pour finalement te donner envie de relâcher ton déjeuner fort copieux, elle te dégoutait et finalement, jamais tu n’allais revoir son visage. Des souvenirs remontaient lentement alors que tu somnolais, bercé par le moteur du véhicule. Vous vous entendiez si bien, toi-même tu te demandais à quel point elle avait dérapé pour finalement finir six-pieds sous terre et toi tâché de son sang impur. Tu te revoyais courir avec elle dans cet immense et magnifique jardin de votre maison de campagne, tu l’entendais rire aux éclats dans une de ses magnifiques robes espagnoles, elle était magnifique, ses cheveux bruns et soyeux qui dansaient au vent, cette façon qu’elle avait de te reprendre quand tu dépassais les limites, cette fois-ci, les rôles s’étaient tragiquement inversés. Ta propre sœur s’était écroulée dans tes bras, te suppliant une dernière fois de ne pas commettre l’irréparable, mais s’en était trop. Le bruit sourd du coup de feu fatal résonnait encore dans ton esprit tandis que t’ouvrais les yeux brusquement, te redressant d’un coup, le cœur battant, redescendant doucement sur terre. Est-ce que tu regrettais ce geste ? Non, pas le moins du monde, t’étais un monstre, une abominable chimère trompée par son propre sang.  Elle s’était joué de toi, voulant te livrer à un de ces mafieux malsains pour finalement toucher un paquet d’oseille sur ton dos, mais t’étais pas dupe, loin-de-là, elle en avait fait les frais. C’était pas la première, t’avais cette étrange mais néanmoins abjecte habitude à descendre quiconque osait te menacer, un coup de feu dans la tempe et le message était passé pour le suivant.  Tu voyais se dessiner au loin la silhouette de ton immense maison familiale, t’avais les moyens de t’en payer une bien plus imposante, une plus récente, mais la famille, c’était sacré, te demander de quitter ton cocon était comparable au fait de t’arracher un membre, te séparer de ton sang était impensable pour ta petite personne. T’étais à la tête d’une fortune mondiale et pourtant, tu ne levais pas le petit doigt pour gagner ton pain, l’argent sembler tomber directement dans tes poches pour finalement être mis de côté, parce que oui, tu ne dépensais pas d’un trait tout ce qui pouvait emplir ton portemonnaie, t’appréciais, tu laissais trainer, t’avais déjà tout ce que tu voulais. Tes parents étaient fiers de leur petit garçon, savais-tu seulement que dans ce monde, tout n’est qu’éphémère ? Rien ne servait de courir, tu le savais, ton petit bonheur idyllique n’était que de passage, la réalité te rattrapait à grand pas et tu n’allais pas tarder à en faire les frais. T’avais à peine posé un pied dans cette grande villa que ton cœur s’était mis battre plus fort et bien plus rapidement, tu sentais que quelque chose n’allait pas, c’était calme, beaucoup trop calme, les rires rauques de ton paternel  et la voix cristalline de ta mère ne résonnaient pas entre les murs de votre foyer. Le silence était maître, des hommes se précipitaient autour de cette immense bâtisse tandis que tu t’engouffrais à l’intérieur de ce traquenard, courant, appelant tes parents comme si tu savais éperdument que cette absence de son était signe d’un grand malheur. Tes poumons brûlaient, les cris te déchiraient les cordes vocales, t’hurlais en vain avant de finalement t’arrêter net dans une des nombreuses chambres. C’était la fin. T’étais tombé à genoux dans l’encadrement de la porte, une limite entre ce spectacle macabre qui se présentait à toi et ta vie d’avant, il ne te fallait que quelque centimètres pour tomber dans une spirale infernale et finalement, tu t’étais jeté à l’eau, te précipitant vers ta défunte mère, son corps gisant au sol lacéré, baignant dans son propre sang. Le temps semblait s’être arrêté alors que tu tentais en vain de ramener cette femme qui t’avait élevé, qui t’aimait tant à la vie, tu te jetais prêt de ton père, les larmes perlant sur tes joues pour venir se mêler au liquide rougeâtre qui s’échappait de la dépouille de ton père. La chambre n’était plus ce qu’elle était, désordonnée, ravagée, tant de mots qui ne pouvaient en rien définir l’état de la petite pièce. C’était eux, c’était elle, ta sœur s’était levée d’entre les morts pour faucher ta famille et ainsi te laisser à ton propre sort. Ces êtres immondes qui travaillaient pour elle avaient honoré sa mémoire en te privant de ce qui était le plus important à tes yeux.

T’étais seul, éternellement seul. Des bips incessants te tiraillaient les oreilles, t’avais mal, tu souffrais, ton corps ne répondait plus à tes appels, tu bougeais pas, tu te sentais comme mort et pourtant, les voix autour de toi te rassuraient. Tu sentais des mains passer dans tes cheveux, des baisers se déposer sur tes joues et des sanglots résonner autour de ta petite personne. T’essayais d’ouvrir les yeux, mais rien n’y faisait, t’étais trop faible, seuls des gémissements étouffées s’échappaient d’entre tes lèvres, tu voulais qu’on sache que t’étais là, vivant. Les minutes s’écoulaient sans que rien ne s’arrange, t’étais un légume, conscient, mais incapable d’effectuer le moindre geste. Tu cherchais, fouillais dans ton esprit, essayant de trouver une réponse, une raison à cet état, des morceaux de souvenirs manquaient, t’arrivais pas à te rappeler, t’étais amnésique. Les jours passaient et peu à peu, ton corps acceptait de bouger, lentement, tu souffrais mais tu t’en fichais, t’étais enragé, hors de toi. Quelqu’un s’était acharné sur ta petite personne alors que tu descendais de ton hôtel à Moscou, cette grande bâtisse qui surplombait l’immense ville, cet héritage laissé par tes parents à leur mort, au fond, tu le savais, rien n’était dû au hasard. T’avais appris à vivre avec le décès de ceux qui t’avaient élevé, aimé, ceux à qui tu devais tout et qui pourtant, s’en étaient allé avant toi. Tu t’étais juré de retrouver ces charognes, les responsables de ce drame mais finalement, t’étais, toi aussi, une victime de ces chiens. Moscou était à tes yeux l’aube d’un nouveau départ et pourtant le passé te rattrapait à vive allure, derrière ton petit luxe, ton air de jet-setter, bien au-delà des strasses et des paillettes, des fêtes et des costumes hors de prix, une guillotine menaçait de s’écrouler sur toi pour mettre fin au règne des Webb, mais toi, tu t'en fichais pas mal, t'avais l'habitude.  
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