Dans les ruelles de Moscou une jeune femme coure avec sa petite fille dans les bras. La petite en pleure et en sueur, la jeune femme vêtu d'un petit corset, d'une jupe en dentelles et un peu trop maquillé. Cette femme c'est moi Talya-Svetlana, je cours au médecin, car ma ville à encore attraper la grippe. Il est quatre heures du matin et cela fait plusieurs jours que ma petite Anya fait de la fièvre. Je toque comme une folle à la porte de mon médecin traitant, celui-ci arrive et me prend Anya de suite comprenant l'urgence de la situation. J'ai peur, je tremble comme une mère névrosé que je suis devenue à la naissance de mon petit ange. Pour me calmer j'essaie de me rappeler de la naissance de mon petit ange. « Poussez Madame ! Vous y êtes madame ! Je vois la tête » ! Les mots du médecin me semblait tellement loin, tellement inaccessible, je pensais cas la douleur que je ressentais. Personne est là pour me tendre la main, personne est là pour me soutenir et j'en pleure, j'en souffre même. Mais, quand les médecins me donnent enfin ma fille après des heures de souffrance tout me semble si loin, je me sens au paradis, ce petit ange me souris et je sens que plus rien ne peut m'arriver. Les médecins me félicite et on me dit que ma fille est en bonne santé. Mon médecin traitant me fait sortir de mes rêveries en m'annonçant que quelques médicaments avaient réussis à baisser la fièvre de ma fille, il me donne quelques médicaments pour finir la nuit et une ordonnance. En rentrant chez nous Anya c'était endormit aussi vite que l'éclaire et j'en avais profité pour faire de même. Mon travail me prenait toutes nuits, mais je gagne suffisamment pour pouvoir entretenir ma vie. J'avais seize ans quand j'ai quitté ma vie de château, je suis partie de chez moi avec le minimum en poche et une envie folle de réussir. C'est là que j'ai connus Monsieur Buryi, un homme influent qui m'a promis un bon salaire. Puis je suis devenus danseuse burlesque en quelques mois. Lors de ma nouvelle vie j'ai rencontré de nombreux hommes plus beau et plus riche les un que les autres. Mais un seul a retenu mon attention, il était beau, attentionné et il ne prenait pas tout pour acquis. C'est pour cela que j'ai finis dans ses bras et dans son lit par la même occasion. Quand il a su que j'étais enceinte, il m'entretenait et il m'aidait et lorsque j'ai accouché il a disparu. J'ai pleuré et je suis tombée en dépression. Tous les mois il me verse une somme sur mon compte en banque et j'ai repris le travail. Couchais dans mon lit, je fais le tour de ma petite chambre et je regarde l'heure cinq heures et quart du matin dans quelques heures je devrais réveiller Anya pour l'emmener à l'école. Je laisse mon esprit se vidait, je ferme délicatement les yeux et je laisse la fatigue m'emporter.